ROBERT BRASSEUR ++

         Le plus grand champion Français des 100 kg ! Il est resté invaincu pendant 4 ans, après une blessure, il nous revient au sein de sa nouvelle fédération : la GPC ...  

                         Palmarès        Photos          Interview                                

                                  BENCHPRESS PALMARES

         CHAMPION MONDIAL    40-44   - 100 kg WPC : 2001 2002 2003
         CHAMPION
MONDIAL    45-49   - 100 kg GPC : 2006 2007
         CHAMPION
MONDIAL    45-49   - 110 kg GPC : 2008 2009 2010
         CHAMPION MONDIAL    50-54   - 110 kg GPC : 2011 ( Raw et Equipé )
         CHAMPION MONDIAL  Submaster - 100 kg WPC : 2000
    VICE-CHAMPION MONDIAL    45-49   - 100 kg GPC : 2009
    VICE-CHAMPION MONDIAL    50-54   - 100 kg GPC : 2013
    VICE-CHAMPION
MONDIAL  Submaster - 100 kg WPC : 1999
    VICE-CHAMPION
MONDIAL    Open    - 100 kg WPC : 1998
   4° CHAMPIONNAT
MONDIAL    Open    - 100 kg IPF : 1991

             CHAMPION  EUROPEEN   40-44   - 100 kg WPC : 2002 2003
             CHAMPION 
EUROPEEN Submaster - 100 kg WPC : 2001
             CHAMPION 
EUROPEEN   OPEN    - 100 kg WPC : 1994 2000
             CHAMPION 
EUROPEEN   40-44   - 100 kg GPC : 2006
             CHAMPION 
EUROPEEN   45-49   - 100 kg GPC : 2009 2010
             CHAMPION  EUROPEEN   45-49   - 100 kg GPC : 2010 ( Raw )
             CHAMPION  EUROPEEN   50-54   - 110 kg GPC : 2013
             CHAMPION  EUROPEEN   50-54   - 110 kg GPC : 2011 2012 2013 2015 ( Raw )
             CHAMPION  EUROPEEN   55-59   - 110 kg GPC : 2018 ( Raw )
             CHAMPION  EUROPEEN   55-59   - 100 kg GPC : 2019 ( Raw )
        VICE-CHAMPION  EUROPEEN   OPEN    - 100 kg WPC : 1996 1998 1999
        VICE-CHAMPION 
EUROPEEN   45-49   - 100 kg GPC : 2007 2008
        VICE-CHAMPION  EUROPEEN   50-54   - 110 kg GPC : 2011 2012 2014
        VICE-CHAMPION  EUROPEEN   55-59   - 110 kg GPC : 2016 ( Raw )
        VICE-CHAMPION  EUROPEEN   40-44   - 110 kg WPC : 2004
       3° CHAMPIONNAT 
EUROPEEN   55-59   - 110 kg GPC : 2017 ( Raw )

 VAINQUEUR DE LA FINALE FRANCE - 100 kg  OPEN  AFFFBB : 1990 1991 1994 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003
 
VAINQUEUR DE LA FINALE FRANCE - 100 kg 40-44   GPC   : 2006
 
VAINQUEUR DE LA FINALE FRANCE - 100 kg 45-49   GPC   : 2007 2010 2011
 
VAINQUEUR DE LA FINALE FRANCE - 100 kg 50-54   GPC   : 2014 ( Raw )
 
VAINQUEUR DE LA FINALE FRANCE - 110 kg 50-54   GPC   : 2015 2016 ( Raw )
 
VAINQUEUR DE LA FINALE FRANCE - 110 kg 50-54   GPC   : 2012 2013
 
VAINQUEUR DE LA FINALE FRANCE - 110 kg 55-59   GPC   : 2017 2018 ( Raw )
        2° DE LA FINALE FRANCE - 100 kg 45-49   GPC   : 2008
        2° DE LA FINALE FRANCE - 100 kg  OPEN    3F   : 1991 1995  
        3° DE LA FINALE FRANCE - 100 kg  OPEN    3F   : 1989  

                            RECORD PERSONNEL - 100 kg : 250   kg
                            RECORD PERSONNEL - 110 kg : 230   kg

                                   PHOTOS GALLERY

Brasseur.jpg (64382 octets) Brasseur1.jpg (132271 octets) Brasseur2.jpg (125553 octets) Brasseur2.jpg (51533 octets)

                                     INTERVIEW
                         réalisée par Pascal Girard pour le site ( Août 2004 )

     PG : Robert, tu es le plus grand champion de Développé Couché français chez les lourds, peux-tu nous donner quelques renseignements sur toi, les sports que tu as pratiqué dans ta jeunesse ?
     RB : Je suis né le 27 mai 1961 à Amneville ( Moselle ) d'une famille nombreuse de trois garçons et cinq filles. J'ai pratiqué depuis l'âge de 7 ans de la lutte libre, gréco-romaine et ensuite sambo. Après l'obtention de mon baccalauréat je suis parti en faculté de sciences et droit à l'université de Metz, où j'ai continué à pratiquer des sports de combats : Judo ( ceinture marron ) et aïkido. J'ai fait beaucoup de compétitions de lutte. Ensuite après avoir été admis au CREPS de Vichy (03) pour devenir professeur adjoint de sport, option combats, j'ai décidé d'abandonner, les salaires n'étant vraiment pas attractifs.
J'ai réussi le concours pour devenir Inspecteur de Police et je suis entré à l'école supérieur de la Police Nationale à Toulouse où j'ai continué la pratique de la musculation, du judo. J'ai quitté l'école à l'âge de 22 ans pour un poste à Vernon (27) où je suis resté de 1984 à 1987. A cet endroit j'ai pu m'entraîner chez Guiseppe Amato, l'un des tous premiers champions français de Bodybuilding, plusieurs fois champion de France et qui s'entraînait avec les plus grands de l'époque ( Buinoud, Demeilles, Durvel ... ). Il a pu me préparer à des compétions de " plastique " et de force. J'ai commencé en Force par les 100 kg du Havre, compétition très prisée dans les années 80.

     PG : Cela fait maintenant 27 ans que tu pratiques le Développé
Couché, dans quel contexte es-tu venu à la musculation et as-tu découvert ce nouveau sport à l'époque ?
     RB :
Le fait d'avoir pratiqué la force vient de toutes ses années de la pratique de la lutte qui est un sport très rude et qui demande de la force. En m'entraînant à l'âge de 17 ans régulièrement au club de Malroy (57), tenu à l'époque par un champion d'Europe de Force appelé Raphaël Forfari, toujours recordman du monde du développé couché en vétéran 55-60 ans avec une barre à 135 kg cat. -67,5 kg WPC, j'ai découvert ce sport pour lequel j'avais des prédispositions. Aujourd'hui encore Raphaël pratique toujours la force dans son club de Marly (57). Le fait d'avoir connu un autre champion comme je le disais (Guiseppe) m'a conforté dans mon ambition. Tous deux me donnaient beaucoup d'espoir de réussir dans la musculation force ou plastique.
     PG :
Quel souvenir gardes-tu de ta première compétition ?
     RB :
Ma première compétition de force date de 1984 pour les 100 kg du Havre. Ce jour là je me présentais dans la catégorie des - 80 kg. J'avais fait 4 ème tout prêt du podium avec 16 répétitions me semble t-il. En voyant les meilleurs chez les lourds comme Durvel et d'autres qui réalisaient des répétitions à plus de 30 fois, cela m'a encouragé à persévérer dans mon entraînement. Ce jour là un américain dont j'ai oublié son nom avec réalisé plus de 60 reps. Je n'ai jamais oublié cela ! Après quinze années de travail j'ai pu devenir recordman de France des répétitions à 100 kg pour un poids de corps inférieur à 100 kg avec 41 reps. En moins de 105 kg, je partage le record de France des reps à 140 kg avec Claude Marty avec un total de 22 reps.
     PG :
Tu concoures à l'AFFBB ( WPC au niveau international ), peux-tu nous parler de l'ambiance et de ce que tu aimes dans cette fédération ...
     RB :
Rare sont les athlètes qui ont pu tirer dans les deux plus grandes fédérations mondiales : IPF et WPC. Je peux sans aucune difficulté tirer les conclusions de l'une et de l'autre. Toutes ont leur défauts mais je me sens beaucoup mieux à la WPC. En fait cette fédération a toujours était menée par les américains maîtres de la discipline et je ne voulais pas être un champion de deuxième zone si l'on peut dire. Comme tout le monde le sait l'américain a pour devise " no limite in América " ce qui devenait vraiment fou lors des concours car ils tentent des barres incroyables. Du style je manque à 230 kg le premier et le deuxième essai et tant pis pour le troisième : je tente 260 kg. Et là l'athlète réussit c'est quand même fantastique. Depuis il devient fréquent de voir des barres à plus de 300 kg car la WPC était avant l'année dernière le tremplin pour la WPO. A ce titre quelquefois des champions viennent de la WPO pour des exploits à la WPC. C'est grandiose. Les concours à la WPC comme à l'IPF sont bien organisés. Ensuite j'ai pu réagir à ta rubrique coups de gueules où des grands champions de chez vous ont pu s'exprimer. Il est regrettable que votre fédération ne puisse tenir compte que des seniors et d'occulter les vétérans qui demeurent le noyau dure dans nos deux fédérations. A L'IPF les dirigeants ont une mentalité trop rigide et le fait d'appartenir, et ce n'est que mon opinion vu mon expérience, à une fédération dite " reconnue " n'apporte que des désagréments. En réalité le sport olympique est l'haltérophilie, et le culturisme et la force athlétique sont les parents pauvres jouissant d'une " reconnaissance déguisée " de leur sport. Chez nous pas d'hypocrisie car on sait bien que ce sport ne serai jamais olympique. J'entends cela depuis plus de 20 ans ...
Quand je vois le peu d'athlètes pris en compte pour les frais de déplacement, franchement où est la finalité d'un agrément ministériel. A mon niveau j'ai financé, et sur ce point Jean- Luc Garcia pourra te le certifier, le transport gratuit au dernier championnat d'Europe de 9 internationaux. 3 avaient la gratuité complète ( transport, chambre et repas). Pour Monde aux Etats Unis en novembre prochain je finance complètement 3 athlètes pour un budget total de 4000 euros. Le plus incompréhensible pour moi dans votre Fédération est que les champions de France ne participent pas aux compétitions internationales pour représenter la France. A quoi bon d'être le français reconnu. Moi-même je ne suis pas reconnu par la Jeunesse et sports et pourtant dans le monde entier on me connaît au benchpress dans différentes fédés et même en WPO. Quant est-il de votre budget ? N'y a t-il pas trop de dirigeants ?
Pour finir l'attitude de ceux-ci face aux contrôles anti-dopages, quelle hypocrisie ?

     PG :
Tu as remporté plusieurs titres Européens et Mondiaux, quel est celui qui t'a le plus marqué ?
     RB :
Après des années de concours finissant 2 ème ou 1 er jamais loin du titre, ma plus belle compétition et celle de Las Vegas en 2000. Ce jour là il était donné le choix à l'équipe de France de tirer en amateur ou en classement avec la WPO qui était présente avec les hommes les plus forts de la planète. J'ai décidé d'affronter ces champions en sub-masters. En - 100 kg open un athlète de la WPO finissait 1 er avec une barre à 280 ou 285 ( il s'agissait de Bill Carpenter). Dans ma catégorie, le champion de la WPO : René Imesch (Suisse) l'emportant avec 270 kg. Je me suis battu vraiment pour la troisième place que j'ai pu obtenir de justesse face à un canadien recordman du Monde de l'époque pour 2,5 kg avec une barre à 235 kg Il était difficile de faire mieux, ma préparation avait été perturbée par des phénomènes extérieurs de ma vie privée.
     PG :
As-tu une anecdote de compétition qui t'a marqué ?
     RB :
oui. J'ai battu le record du Monde du développé couché le 27 mai 2001 à Helsinki ( Finlande ) le jour de mon anniversaire dans la catégorie des masters 40 - 44 ans donc le jour de mes 40 ans. J'ai amélioré l'ancien record de 6 kg en 3 ème barre puis de 5 kg supplémentaires en 4 ème et dernière barre. Le comble de cela c'est que la fédération n'a jamais fait parvenir au Siège de la fédération Mondiale la validation de mon record et je n'ai donc pas obtenu le diplôme. Ce n'est qu'un an plus tard à Europe 2002 en Allemagne que j'ai pu rebattre le record du monde et ainsi obtenir l'officialisation de ce record.
     PG :
Tu es un passionné de ce sport, peux-tu nous partager comment tu t'investis ...
     RB :
Dans mon club, je suis responsable de la section force athlétique à titre bénévole. Je précise que je travaille la journée en tant que policier, je suis aujourd'hui capitaine de Police . Je présente une vingtaine d'athlètes à France et plus d'une dizaine aux compétitions internationales. Je m'occupe de quelques athlètes au niveau international et Jean-luc Garcia en fait de même avec ses athlètes dans un autre club. Jean Luc fait partie de mon équipe. Je me bats également pour trouver les financements et quelquefois le mot " battre " est de circonstance auprès de sponsors et d'instances publiques ( maire, conseil général, conseil régional ... ). Le financement privé par des mécènes est également bien venu. En tout cas il reste possible encore aujourd'hui d'envoyer des athlètes dans notre fédération en nombre suffisant avec l'aide de processus de financement simple. A ce sujet je ne manque jamais d'idée.
     PG :
Comme moi, tu es un partisan d'une future fédération française unique ...
peux-tu nous dire ce que cela pourrait apporter, et comment mieux faire connaître notre sport ...

     RB :
Tout d'abord soyons lucide. Soyons autonome et sortons de l'étau de la Jeunesse et Sport qui n'est pas une fin en soi. La preuve pas d'argent, pas d'espérance de sport olympique, pas d'effet sur les médias, bref ... rien. Le principal pour un athlète passionné de son sport c'est de la pratiquer non seulement en France mais également en Europe et dans le Monde. Combien de champions français n'ont jamais tiré en dehors des frontières ? Beaucoup trop. En se regroupant on pourrait limiter de moitié les dirigeants et limiter les frais. L'argent irait beaucoup plus aux compétiteurs de force. Je ne me sens pas concerné par les haltérophiles, les bodybuilders, le fitness et autre. Nous ne deviendrons crédibles que lorsque la pratique de ce sport sera unique dans une seule fédération. Une autonomie de cette pratique sur une fédération unique pour la pratique de la force style " Fédération Française de Force " pourrait avoir accès sans aucun doute aux médias. A ce moment là agrément ou pas de la jeunesse des sports ne changerait pas grand chose. L'argent des licences clubs, individuelles permettrait un autofinancement digne de ce sport. Comme disait Pierre de Coubertin " le principal c'est de participer ". Que notre athlète français soit 1 ou 10 ème à Europe c'est pas le principal. Je pense en disant cela à notre jeunesse qui pratique notre sport.
     PG :
Quel est ton programme d'entraînement ? Comment as-t-il évolué durant les années ?
     RB :
Je m'entraîne 5 fois pas semaine. Deux fois les pectoraux, une fois le dos, une fois les jambes et une fois des " petits " muscles. Je fais une séance par semaine de couché lourd et l'autre séance je travaille l'épaisseur, le souffle, la résistance. J'utilise une méthode de progression mathématique appelé " arithmétique " soit une charge en série de 6 à 8 mouvements à 80 % du maxi. Je réalise un maxi tous les mois et je réajuste ensuite la charge toujours en vertu de ce pourcentage. Je ne descends jamais en dessous de 5 répétitions à la même charge sinon la rentabilité musculaire n'est pas intéressante. Après 8 répétitions le cas devient le même ce n'est pas rentable. Entre deux maxis quand je dépasse automatiquement les 8 répétitions je charge de 2,5 kg la barre pour redescendre mes séries et rester ainsi dans le créneau des 6-8 répétitions. J'utilise des graphiques de progression en dessinant une droite dans une repère orthonormé : Y = ax + b. C'est une peu barbare pour les gens n'ayant pas fait de maths mais en fait c'est simple. Cela veut dire qu'il y a une corrélation entre le maxi et les séries. Quand on connaît le nombre de répétitions que l'on fait à un poids donné on peut en déduire tout simplement son maxi. Cela m'évite de réaliser de trop nombreux maxi et d'éviter ainsi beaucoup de blessures.
     PG :
Tu as remporté aussi de nombreuses compétitions de " 100 kg " dans les années 90 ... Quels sont tes records à ces différents poids ( 100, 140, 150, 200 ... ? )? Comment t'entraînes-tu pour préparer ces compétitions là ?
     RB :
J'ai déjà réalisé toujours dans les - 100 kg, 51 répétitions à 100 kg ( Grand Prix d'Aix en Provence en 1997, je crois pour la date ). J'ai pu faire plusieurs fois 22 répétitions à 140 kg. J'ai déjà réalisé 20 à 150 kg et 10 répétitions à 200 kg. Je n'ai pas d'entraînement spécifique, il faut simplement rester régulier dans les entraînements. Pour aller loin dans les répétitions, j'ai un truc c'est vrai qui appartient à la métaphysique mais que je ne peux dévoiler. Seul mon partenaire connaît cette méthode.
     PG :
Suis-tu un régime alimentaire particulier ?
     RB :
Je mange beaucoup de glucides lents ( pâtes, riz, semoule, lentilles ... ). Je n'exagère pas dans les protéines soit 1 à 2 grammes par kg de poids de corps. Pour les sucres rapides j'utilise dans les entraînements un sucre rapide dans une préparation appelée Energizer + fabriqué en Belgique par la firme " Performance " ( mélange d'eau, de fructose, dextrose, maltodextrine, acide ascorbique). Je trouve que ce produit convient bien à notre sport et notre besoin d'énergie rapide.
     PG :
Si tu avais un conseil à donner à un débutant ?
     RB :
De la patience, beaucoup de patience. Ne pas utiliser de produits dopants. Je donne toujours le même exemple. Que ferait l'essence d'une formule 1 dans le moteur d'une 2 chevaux et vice versa la formule 1 ne peut utiliser l'essence d'une 2 chevaux. Soyez régulier dans l'entraînement. Ayez beaucoup de volonté, écoutez les conseils des anciens et toujours se fixer un but pour l'année en cours.
     PG :
Quels sont tes prochains objectifs ?
     RB :
Battre le record du monde de la catégorie des 1OO kg en vétéran des 45 à 50 ans car je m'y approche dans un an et demi. Le record du monde est fixé à 237,5 kg.
     PG :
Y a-t-il d'autres sujets que tu voudrais aborder ?
     RB :
Je voulais simplement donner le bonjour à tous les athlètes que je ne connais pas de ta fédération et que j'ai pu découvrir par ton site ou par des témoignages d'autres athlètes. J'admire toutes ces personnes qui ont en commun la pratique du même sport quelque soit la fédération. Je n'ai pas voulu faire de critiques sur votre fédération, c'est simplement mon constat de sportif expérimenté. Au diable les fédés nous sommes les mêmes attirés par la même passion. Réunissons nous ! ... 

                                       Retour à la page d'accueil : accueil