PRENEZ SOIN DE VOS ARTICULATIONS !

            Tous les athlètes le savent : leur pratique sportive régulière et intense les expose à connaître des douleurs articulaires, ligamentaires ou tendineuses. Ces douleurs sont provoquées par les chocs répétés subis lors des entraînements, des compétitions, et, plus généralement, par une sollicitation intensive. Le plus souvent, la seule option qui leur est proposée tourne autour de trois axes : du repos, du froid, et la compression. Mais force est de se rendre à l'évidence : ce n'est souvent pas suffisant.

Tous, nous avons en tête des athlètes qui traînent de saison en saison une lésion articulaire, ce qui limite automatiquement leurs résultats : même quand ils ne souffrent pas, ils craignent de se blesser à nouveau ! Sans même avoir besoin de rappeler les cas les plus médiatiques, qui ont vu des carrières brisées, chacun de nous est conscient de la multiplication des blessures !

Certains en sont venus à les considérer comme un mal nécessaire. Le véritable problème posé par ces lésions est que, au contraire des blessures musculaires, qui ne laissent en général pas de séquelles, les atteintes articulaires ont très fréquemment des conséquences à long terme.
En effet, les médecins estiment aujourd'hui qu'elles multiplient par 3 le risque de souffrir ensuite d'arthrose et de douleurs articulaires permanentes.
Et les séquelles sont encore plus importantes pour tous ceux qui, objectif oblige, continuent à s'entraîner sans avoir réellement traité leurs blessures (une situation malheureusement fréquente) !

Longtemps, on n'a pas prêté une réelle importance à cet aspect des choses. Ce n'est que très récemment que l'on a commencé à s'intéresser aux moyens de prévenir ces lésions. On a alors vu les chaussures s'équiper de mécanismes amortisseurs de choc (car la course est un exercice traumatisant pour les articulations, qui provoque des chocs répétés et intenses), et plusieurs matériels intégrer les contraintes liées à la physiologie de l'effort. Mais il reste encore bien des progrès à effectuer dans ce domaine. Dans ce contexte, et alors que la médecine n'avait jamais réellement étudié de nouvelles approches thérapeutiques, on a vu s'accélérer la recherche, pour apporter des solutions innovantes.

            Pourquoi les articulations cèdent-elles ?

Il faut distinguer deux cas : d'un côté, vous avez l'essentiel des sportifs amateurs, qui s'entraînent en général une à deux fois par semaine. De l'autre, vous avez des athlètes de haut niveau, très entraînés (professionnels ou non, qu'ils pratiquent la compétition ou pas). Nous comptons dans cette catégorie tous ceux qui s'entraînent plus de deux fois par semaine. On entre là dans le cadre d'une pratique intensive, qui en général s'accompagne d'une recherche de performance (qu'il y ait ou non compétition ou professionnalisme ne change rien aux contraintes appliquées à l'organisme).
Pour les premiers, les raisons majeurs des blessures tiennent à un manque de condition physique (vous arrivez directement du bureau, et, sans être très bien échauffé, vous essayez de battre le record du monde... curieusement, votre corps ne suit pas !) et à des mouvements mal effectués.

C'est naturellement pour le deuxième groupe que la question est la plus sérieuse. La pratique sportive intensive est de plus en plus exigeante. Dans de nombreuses disciplines, le rythme des compétitions s'accélère, les calendriers sont de plus en plus chargés, les saisons de plus en plus longues. Résistance, force, puissance, sont désormais indissociablement liées à la performance. Le fameux entraînement foncier, auquel sacrifient footballeurs, athlètes, rugbyman, cyclistes, skieurs, nageurs..., a acquis ses lettres de noblesse ! Développer une condition physique parfaite devient une "impérieuse nécessité", base de toutes les pratiques sportives.

 

Mais, si les muscles de ces athlètes deviennent plus forts et plus volumineux, il n'existe en revanche aucun entraînement consacré à augmenter la résistance des articulations. Faiblement irrigués par le flux sanguin, et spécialement lents à se développer, tendons et ligaments sont particulièrement difficiles à renforcer efficacement. La conséquence de cet état de fait est qu'ils restent à la traîne du reste de l'organisme. Au fur et à mesure que l'écart se creuse, un déséquilibre s'établit : les muscles gagnent en résistance, et deviennent un beau jour plus forts que les tendons (qui les rattachent aux os), et que les ligaments (qui lient les os entre eux). Il suffit alors d'une situation de tension extrême des muscles pour que les tendons et les ligaments lâchent, entraînant avec eux le cartilage.

            Améliorer la résistance articulaire

Tous les sportifs savent qu'ils doivent apporter à leurs muscles tous les éléments nécessaires à leur bon fonctionnement. Mais pensent-ils à le faire pour leurs articulations ? Les scientifiques eux-mêmes ne se sont penchés sur la question que bien après avoir largement étudié le fonctionnement musculaire.
Les tissus articulaires sont composés d'agents naturels présents dans l'organisme en quantités restreintes. Un apport complémentaire de ces nutriments permet de protéger les articulations. Ainsi, la glucosamine est particulièrement intéressante, car elle est à la base de la synthèse de protéoglycanes (les glycosaminoglycanes), qui sont, avec le collagène, le principal composant du cartilage. Les études font apparaître une bonne efficacité de la glucosamine dans les cas d'atteinte avérée du cartilage. Ce n'est qu'en 1995 qu'il a été finalement mis en évidence le fait qu'elle permet également de prévenir les lésions cartilagineuses, grâce à une supplémentation régulière. De tels protocoles appliqués chez des sportifs en pleine santé ont permis d'observer une limitation des problèmes aux épaules, aux genoux et aux poignets. Des études cliniques réalisées en Europe confirment ces constatations faites sur le terrain.
Une seconde étape vise à limiter les risques d'inflammation des articulations. Cela passe par le renforcement des membranes articulaires, en réduisant l'action des prostaglandines - des acides gras qui interviennent directement dans le processus inflammatoire. Le recours à certains antioxydants semble également pouvoir apporter un bénéfice dans ce domaine, mais des études complémentaires doivent encore être réalisées avant de pouvoir trancher définitivement cette question.
La troisième et dernière étape pour renforcer la résistance articulaire consiste à faire les bons choix techniques. Puisque des matériels adaptés ont enfin été développés, il appartient à chacun de faire le choix de la qualité. De la même façon, certains exercices et certaines formes d'entraînement fragilisent davantage les articulations. Là encore, c'est aux entraîneurs, et aux sportifs eux-mêmes, de prendre les bonnes décisions. Les conséquences de ce type de blessures sont trop profondes pour ne pas mettre toutes les chances de son côté. Il faut donc prêter une attention particulière à ne pas pratiquer d'exercices trop stressants lorsqu'il n'y a pas de besoin spécifique.
Parmi les mesures élémentaires de précaution qu'il est toujours bon de rappeler, il faut naturellement s'échauffer consciencieusement, et pratiquer les mouvements  dans leur forme la plus pure.

            La glucosamine accélère la guérison des lésions articulaires

Lorsque l'on est en présence d'atteintes articulaires, on sait désormais que certains nutriments sont particulièrement efficaces. C'est notamment le cas lors d'entorses avec des complications ligamentaires et tendineuses. Les ligaments sont essentiellement composés d'élastine, une protéine fibreuse extensible, alors que les tendons sont eux non-extensibles, et composés de molécules de collagène, la protéine la plus courante dans l'organisme. Les fibres de collagène dans les tendons ont une incroyable limite d'élasticité - davantage même que le fil de fer. La pratique d'un exercice régulier provoque un stress mécanique, qui finit par réduire la capacité de ces tissus à se régénérer naturellement. Peu irrigués par le sang, les tendons se réparent, soit en fabriquant de nouvelles fibres de collagène de qualité, soit en générant des tissus cicatriciels de qualité moindre, lorsque le processus de récupération est interrompu avant la fin, ou quand les nutriments nécessaires manquent.
Pour prendre un exemple concret, les douleurs du genou sont en général le résultat de dommages causés au cartilage. Celui-ci joue le rôle d'une sorte d'amortisseur naturel des chocs : lorsqu'il est abîmé, les deux os entrent en contact, ce qui provoque la douleur. Une étude spécifique a été menée auprès de 68 athlètes souffrant de lésions du cartilage du genou. Ils ont reçu une dose de 1 500 mg de glucosamine durant 40 jours, puis 750 mg durant 90 à 100 jours. Sur les 68 sportifs, 52 ont vu disparaître totalement la douleur, et ont pu reprendre un cycle d'entraînement normal. Après 4 à 5 mois, ils avaient retrouvé leur niveau d'avant la blessure. Un suivi complet sur un an a permis de constater que les dégâts cartilagineux n'étaient plus qu'un mauvais souvenir chez tous les sportifs.
Un autre travail de recherche, mené par l'équipe du Dr. Jean-Yves Reginster (CHU Centre Ville - Liège - Belgique) a étudié les effets d'une supplémentation en glucosamine (1500 mg par jour) sur une durée de trois ans, auprès de 212 patients souffrant d'ostéoarthrite. Les sujets recevant la glucosamine ont montré une amélioration de 20 à 25 % de leurs symptômes, alors que le groupe placebo ne connaissait pas d'amélioration significative (une légère tendance à l'aggravation a même été observée). Le Dr. Reginster note : "Une supplémentation en glucosamine sur le long terme permet d'agir préventivement pour empêcher l'évolution de la structure articulaire, tout en assurant une nette amélioration des symptômes".
Pour comprendre le fonctionnement et l'efficacité de cet agent, il faut avoir quelques notions de physiologie. Sans rentrer trop dans les détails, pour ne pas être trop techniques, voici comment cela fonctionne : notre organisme fabrique naturellement de la glucosamine, à partir de glucose et de glutamine, et grâce à une enzyme, la glucosamine synthétase. La glucosamine permet alors la synthèse des glycosaminoglycanes, qui, avec le collagène, génèrent et réparent le cartilage. Mais, par manque de glucose, de glutamine, de glucosamine synthétase, ou simplement avec l'âge, la fabrication de glucosamine peut être ralentie et se révéler insuffisante pour faire face aux lésions. Dans ce cas, les études ont mis en évidence le fait qu'une supplémentation orale permet de pallier à l'insuffisance de fabrication endogène, et donc d'augmenter sensiblement les taux de glycosaminoglycanes. Autrement dit, l'emploi de compléments à base de glucosamine permet d'accélérer la réparation des tissus, lorsque vous êtes confronté à des lésions cartilagineuses et articulaires.

            Glucosamine mode d'emploi

Le processus de réparation des tissus conjonctifs est, par nature, lent. Les blessures se produisent parce qu'ils sont très long à "entraîner" et à renforcer, et, une fois lésés, ils nécessitent beaucoup de temps pour revenir à la normale.
Une étude portugaise, réalisée auprès de 1 208 patients souffrant d'arthrite, a montré qu'une prise journalière de 1 500 mg de glucosamine permet de soulager les douleurs, avec un effet prolongé. Une seconde étude, américaine celle-ci, réalisée en double aveugle, a permis de mettre en lumière le fait que la prise de glucosamine donnait de meilleurs résultats sur le long terme que la prise d'anti-inflammatoires. Il s'agit là d'indications précises données par la science dans le cas de blessures et de douleurs préexistantes.
Mais, on l'a vu précédemment, elle a également un rôle central à jouer dans la prévention des lésions, en renforçant préventivement les articulations, les tendons, les ligaments. C'est d'ailleurs sans doute l'une des ses indications les plus intéressantes, car ce n'est qu'en évitant les blessures que l'on peut réellement passer "au travers" des risques.

C'est pourquoi il existe deux types de fonctionnement pour cet agent, que vous retrouvez notamment dans un supplément nutritionnel comme Protect HP :

- Si vous prenez de la glucosamine dans un but de protection de vos articulations, sans antécédent de blessure ni de douleur, vous allez suivre un cycle dit "préventif". Débutez par un mois de prise quotidienne, avec des doses de 1 500 mg par jour. Marquez ensuite une interruption de trois mois, avant de reprendre la glucosamine durant un mois. Conservez ensuite ce rythme là : un mois de prise, suivi de trois mois d'arrêt, et ce tant que votre activité physique vous fait courir un risque articulaire.

- En cas de douleur existante, il faut bien évidemment commencer par traiter la lésion. Dans ce cas, il faut débuter par un cycle complet de prise quotidienne de 1 500 mg de glucosamine d'une durée de trois mois. Un tel cycle doit permettre de faire disparaître la douleur, de reprendre un rythme normal d'entraînement et d'éviter le retour de la douleur dès l'arrêt de la prise. A l'issue de ce cycle, marquez une interruption de trois mois, avant de reprendre un cycle normal "préventif" : un mois de prise, trois mois d'interruption, à nouveau un mois de prise...

L'utilisation d'une formule complète, comme Protect HP, qui comprend de la glucosamine, mais également une série de nutriments particulièrement importants - zinc, manganèse, vitamine C, vitamine E, sélénium, extrait de turméric, quercetine, bromeline, extrait de saule blanc, calcium, extrait de pépin de raisin -, permet d'améliorer encore l'efficacité de la glucosamine, en ajoutant un puissant effet antioxydant et anti-inflammatoire. Cette formule permet aussi de développer des interactions utiles entre ces nutriments. Ainsi, le sélénium est d'autant plus efficace qu'il est combiné avec de la vitamine C et de la vitamine E... Complément alimentaire spécifique, Protect HP offre une base nutritionnelle parfaite pour faire face et/ou prévenir les problèmes osseux, articulaires, ligamentaires, tendineux et cartilagineux. De plus, il est très simple d'emploi : présenté sous forme de tablettes, il vous suffit de prendre 3 tablettes au petit déjeuner, et 3 tablettes au déjeuner ! Pour ne plus perdre le bénéfice de mois d'entraînement, donnez dès aujourd'hui à votre corps les moyens de réduire les risques de blessure.

La glucosamine est un nutriment tout à fait remarquable, qui permet à tous les sportifs de réduire le risque de voir apparaître douleurs et blessures articulaires. Cela évite un poids psychologique à l'athlète. Mais cela permet surtout de limiter la survenue de ces interruptions malvenues, qui peuvent réduire à néant des mois ou des années d'entraînement, quand elles ne font pas carrément manquer une compétition importante, voire même mettre un terme à une carrière ! Attention, il ne s'agit pas d'une assurance tout risque ! L'échauffement, par exemple, a toujours un rôle très important à jouer. Mais, pour la première fois, il est possible d'apporter réellement une aide efficace à votre corps pour l'aider à prévenir les blessures articulaires.

                        sources : www.e-dynalife.com 

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