L'entraînement de Greg est basé sur un nombre important de séries et peu de répétitions
 		Deux entraînements lourd au couché par semaine et beaucoup d'exercices d'assistance

    1° Jour : Développé Couché prise compétition ( 32 inches grip )
 1° semaine : 315 x 10 séries x 3 reps,  2° semaine : 365x10x3,  3° semaine : 430x10x3, 
 4° semaine : 470x10x3,                  5° semaine : 500x 6x3,  6° semaine : 540x 6x2, 
 7° semaine : 560x4x2, 			 8° semaine : 585x 3x2,  9° semaine : 540x 4x2, 
10° semaine : 600x4x1, 			11° semaine : 555x 4x2, 12° semaine : compétition ...
		Exercices d'Assistance :
	Reverse grip Bench Press ( Développé Couché en prise inverse )
cet exercice est réalisé après le Développé Couché 2 séries avec le même nombre de reps et le même poids
	puis il réalise 5 séries de 5 reps au Lying french press avec un poids modéré
		puis il réalise 4 séries de 5 reps à 200 lbs

    2° Jour : Développé Couché prise serrée ( 20 inches grip )
Greg réalise des séries de 2 reps ... il commence avec 10 séries de 2 reps à 245 lbs la première semaine ...
		il termine la 11° semaine avec 7 séries de 2 reps à 570 lbs !
		Exercices d'Assistance :
	Développé Incliné à 45° : de nombreuses séries et peu de reps ... dernière semaine : 465x4 !
il termine par des soulevés de terre aux racks : il fait des séries à 550 !
	Greg ne fait pas de travail direct des épaules ...	

TM : Greg, de ce que j'ai compris de toi, tu n'est pas étranger aux sports de compétition. Donnes-nous quelques infos sur ton expérience d'athlète de compétition.
GW : J'ai commencé en tant que footballeur au lycée. J'ai joué comme running back et line backer. Durant ma carrière au lycée j'ai réalisé 36 touchdowns et une moyenne de 18 yards par sortie. Chaque année au lycée j'ai participé au All-State. La chose étonnante au sujet de cette histoire est que je pesais seulement 45 kg, mais alors je pouvais passer 3 fois mon poids de corps au couché.
TM : Après avoir été diplômé au lycée, qu'est devenue ta carrière de footballeur ?
GW : Après avoir été diplômé, je suis allé à l'université de l'état de Troy où j'avais des plans pour jouer au football. J'ai su que je devais gagner un certain poids pour pouvoir jouer au football à l'université et c'est ainsi que j'ai commencé à pousser avec l'équipe de football. C'est à l'endroit ou je me suis intéressé pour le première fois au powerlifting. Bientôt je me suis plus concentré sur le powerlifting et de moins en moins pour le football. J'ai par la suite renoncé au football pour le powerlifting.
TM : Maintenant tu es devenu l'un des meilleurs bencheurs du monde. Partages-nous tes principaux résultats.
GW : J'ai concouru dans les catégories des 67,5 kg et 75 kg à l'USPF, l'ADFPA, l'APF et l'IPF. Je détiens le record national de l'USPF et le record du monde IPF. J'ai aussi passé des barres à l'ADFPA qui sont supérieurs aux records des livres.
TM : Dans ton histoire de compétition en powerlifting, quels sont les compétitions qui resteront le plus dans ton esprit ?
GW : Bien que j'ai été un peu déçu de ma performance, le Greatest Bench Press in America de John Inzer est le meilleur. J'avais plannifié d'être le plus léger à passer  272,5 kg ( 600 lbs ). J'ai passé 250 kg et j'ai échoué en 4° barre à 260 kg en pessant seulement 73,5 kg.
TM : En soulevant des poids aussi lourd, n'as-tu jamais souffert de blessures ?
GW : J'ai souffert l'année dernière d'une blessures aux pectoraux. J'ai essayé de pousser malgré la douleur, mais finalement j'ai du aller voir le docteur. Le docteur m'a dit que je ne devais pas pousser pendant un moment. Mais j'ai continué à pousser malgré tout et cela m'a fait encore plus mal. Il est difficile pour moi de prendre du repos. J'avais aussi souffert d'un problème mineur à l'épaule. Mais j'ai résolu ce problème en m'entraînant avec le maillot de couché.
TM : Parles-nous de ton équipement ... cela semble un sujet très chaud dans le powerlifting. Quel est ton point de vue sur l'usage du matériel en powerlifting ?
GW : Si j'avais utilisé mon maillot de couché ce jour là, je ne me serais pas blessé aux pectoraux. Je projette de continuer à concourir pendant de nombreuses années et la recherche sur les maillots de couché peut m'aider à rester en bonne santé et pouvoir pousser de plus en plus lourd au couché. Beaucoup d'historiens pensent aujourd'hui que le powerlifting restera comme il est en snobant les maillots et compétitions qui pourraient exciter les spectateurs. Le powerlifting n'a rien obtenu comme il était avant, alors pourquoi revenir en arrière ?
TM : Pourquoi penses-tu que des vieux compétiteurs poussent si fort pour que l'on revienne en arrière ?
GW : Beaucoup de ceux qui veulent revenir en arrière ne veulent pas que leurs vieux records soient battu. Je crois que les gens veulent voir des grosses performances excitantes, dans des grosses compétitions. Ils ne veulent pas aller dans des petits gymnases de lycée. Nous avons besoin de plus de compétition comme le Grestest Bench d'Inzer pour que le powerlifting obtienne plus de popularité.
TM : Qu'en est-il exactement au sujet de ces compétitions qui sont différentes des autres compétitions du passé ?
GW : En raison de toute la publicité qu'elles reçoivent dans les différents magasines, il a porté à la connaissance de beaucoup de notre sport du powerlifting. Les gens attendent, les rendez-vous spectaculaire et  les show des champions incorporés dans la compétition.
TM : Sans compter ton maillot de couché Inzer, quel autre équipement utilises-tu pour pousser autant de poids ?
GW : J'utilise des bandes poignets. Avec ma prise, je mets la barre plus loin en arrière sur ma main que certains et les bandes poignets gardent mes poignets du retrounement arrière. Quand je pousse je tourne mon petit doigt vers mon visage, avec les pouces dehors. L'appui des bandes me donne une sensation plus confortable. Les chaussures sont des éléments très important. Mes chaussures préférées sont fabriquées par Otomix. Je pense que ces chaussures m'aide à mieux accrocher le sol. Quand j'ai tiré à la compétition d'Inzer, j'avais laissé mes chaussures à la maison et j'ai utilisé une autre marque de chaussures. Je pense que cela n'a pas donné l'adhérence que je souhaitais.
TM : Un autre aspect du sport du powerlifting est l'usage des drogues. Quel est ton point de vue sur l'usage de drogues par certains athlètes ?
GW : Je ne m'inquiète pas de ce que les gens font. S'ils prennent de drogues, ils doivent concourir avec des gens qui prennent des drogues. S'ils n'en prennent pas, ils devraient concourir avec des gens qui n'en prennent pas. Je sais qu'il y a des gens qui parlent de toutes les drogues que je suis sensé prendre. Ils ont dit que j'allais mourir bientôt. Je ne m'inquiète pas de ce qu'ils pensent, je ne prends pas de drogues commes les gens le disent. J'ai plannifié de participer à des compétitions avec contrôles pour leur montrer que je n'utilise pas ces substances.
TM : Racontes-nous comme un compétiteur de classe mondiale s'entraîne au couché.
GW : Je m'entraîne actuellement 5 fois par semaine. Deux jours par semaine je travaille lourd le couché en séries de 2 reps, un jour je travaille les jambes, et les deux autres jours je fais du couché serré et des fins de mouvements lourd. Je travaille ma descente chaque semaine en agmentant les poids et en diminuant les reps. Pour les exercices d'assistance, je fais des fin de mouvement au couché et du curl des triceps. Je travaille aussi mes épaules et très lourd avec du couché en prise inverse et des dips.
TM : Quels sont tes prochains objectifs dans le grand sport du powerlifting ?
GW : Je vais concourir au championnat national USPF 1997 avec l'espoir de passer 272,5 kg sans dopage. Mon principal objectif est d'être le premier de l'histoire à passer 4 fois mon poids de corps au couché.
TM : Beaucoup estiment que le régime est la clé du succés en powerlifting. Est-ce que tu suis un régime particulier ?
GW : Je ne suis aucun régime spécial, mais j'essaye de bien manger. Un jour normal je mange habituellement cinq morceaux de pain grillé, de la crème de blé, du jus de pomme, du lait et du café pour le petiti déjeuner. Je pourrais prendre quelque chose comme du poulet frit, des pois et du maïs pour le déjeuner, et peut être du jambon cuit au four, des macaronis et des pois pour le dîner. Le vendredi soir, je peux habituellement être trouvé dans un restaurant local de nourriture mexicaine.
TM : A quoi ressemble ta vie en dehors de tout le glamour du powerlifting ?
GW : Je suis un environnementaliste. Je dirige des installations de traitement des effluents pour la ville de Clayton, Alabama. Je me suis récemment marié le 7 septembre 1996 à Rebecca, que j'ai rencontré dans une salle de sport que je connais. Nous vivons à Clayton avec nos deux dogs. Dans mon temps libre, j'ai plaisir à jardiner et à faire pousser des tomates et des poivrons pour ma recette spéciale de salsa.
TM : Est-ce que c'est le vrai secret de ta grande force au développé couché ? Est-ce que tu penses que tu pourrais nous donner ta recette ?
GW : Je serais heureux de la partager. Cependant, cette recette est faite à mon propre goût. Quand vous l'essayez, vous pouvez vouloir expérimenter un peu avec les piments mais assurez vous que vous n'obtiendrez pas la salsa plus chaude que vous ne pourrez tenir.
Salsa de Warr : Lavez assez de tomates pour obtenir un gallon une fois écrasée. Placez les en une couche dans une casserole et mettre au four à griller jusqu'à que la peau se fissure et brunissent légèrement. Puis grillez jusqu'à ce que la chaleur passe à travers ( il devrait y avoir quelques morceaux bruns ). Découpez une tasse d'oignons, parsemez d'une tasse de piments jalapeno, mélangez les tomates, oigons et piments. Faire cuire à ébulition environ 10 minutes. mettez dans un récipient stérile et mettez au frigo.